Attention, ce billet se traine depuis plus de 3 mois. Les informations qu'il contient ne sont peut-être plus à jour.
De l'économie du numérique et du libre
Rédigé par 8 commentaires
/ /Attention, ce billet se traine depuis plus de 3 mois. Les informations qu'il contient ne sont peut-être plus à jour.
Rédigé par dada / / 8 commentaires
Merci !
L'optimise est de rigueur, toujours. Ce n'est pas parce qu'on est dans une sale situation qu'il n'y a pas de moyens de s'en sortir. Ils sont difficiles d'accès, mais il y en a quelques-uns.
Purism, j'en entends parler mais je n'ai pas de chiffres affirmant une quelconque réussite... Et c'est une entreprise étasunienne. Non pas que ça me dérange, mais j'aimerais qu'on s'en sorte en Europe, comme avec Protonmail (qui est suisse, mais bon...).
La Low/SmallTech et l'écologie semblent se marier parfaitement, mais le contexte économique rend l'utilisation d'acteurs écologiques compliqués : ça fait encore grimper les prix. Cf Infomaniak, qui est suisse aussi.
On va quand même continuer à nager à contre-courant, c'est un bon entraînement ;-)
Hello !
C'est vraiment un très bon article, excellent résumé des problèmes actuels de l'économie numérique, merci !
La difficulté qui se pose pour les low tech est lié au début de ton article : les géants utilisent les investissements pour interdire toute concurrence viable, or les low tech sont une concurrence :'(
Mais il est permis d'espérer. De plus en plus de gens commencent à réaliser ces problèmes. Ils n'ont pas encore fait toutes les connexions, fait les liens entre ce qui coince dans leur vie de tous les jours et ces problématiques liées, mais ça va venir.
Au niveau structure, une association peut tout à fait être viable. L'association l'atelier à Nantes par exemple (http://association.latelier.free.fr/) existe depuis 1981 et se finance avec des cotisations dépendantes des revenus des adhérents, avec des permanents payés correctement, est auto-gérée et elle survie ! Elle croît même :-)
Si des gens se mettent à y croire, c'est donc possible d'y arriver ! 💪
Merci !
L'accès au marché, si on parle crûment, sera possible soit par une altération (effondrement ?) de la logique actuelle rendant enfin les géants du numérique non viable, soit par une volonté idéologique et politique forte de laisser tomber les mastodontes. On n'y est pas encore.
Les moyens de revenus sont souvent les mêmes quand on parle d'éthique : le dons ou la souscription. On reste quand même, très souvent, dans un modèle qui consiste à doubler les boulots : associatif/militant + job alimentaire. J'ai fait ça pendant des années mais ça ne me satisfait plus :(
On y croit quand même !
Le monde a changé. Internet s'est concentré. Je me souvient au début du web dans les années 90 je me disais demain il y a aura plus de visiteurs car plus de monde auront internet. Cela s'est produit un peu plus tard mais c'est fini. Aujourd'hui tout est cloisonné. Les gens restent enfermés dans leurs plateformes. Il y a moins de créativités.
J'ai juste cette réfléexion en voyant le nombre de visites de mon site et aussi d'autres sites en lancement. C'est ridicules et même parfois zéro. Décourageant.
Et le libre. On vend un service. On devrait pouvoir en vivre. Mais c'est vrai que les applications devraient être développer. Et qui payent des développements. Les premiers clients qui en ont besoin.
Le financement du libre a toujours été un problème. Vivre avec la passion et des bénévoles ça ne suffit pas.
Pour le low-tech, des solutions existent sur différents projets :
- réaliser des contrôleurs domotique avec Raspberry pi
- créer des bases de données locales
- utiliser pourquoi pas des technologies Tor pour transférer des ressources en se passant de serveurs
Bon article :)
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